Vibrant hommage du socialiste Jean JAURES à l’autorité du bon dirigeant et en particulier à celle du bon patron ! Celui-ci se charge du fardeau des responsabilités dont les autres ne veulent pas, par amour de l’ordre et pour triompher de la fatalité. Mais si sa réussite génère du bien pour tout le monde, elle n’en suscite pas moins de l’envie.
Cette citation ne cautionne aucunement l’ensemble de l’œuvre de Jean JAURES qui reste profondément hostile et à la monarchie, et au (...)
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Référentiel
Politique, sociologie, histoire, philosophie... un recueil de textes incontournables utiles au combat royaliste.
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L’autorité et l’âme patronale par Jean JAURES (1859-1914)
5 juillet 2008, par MabBlavet -
Le catholicisme de ROUSSEAU d’après Augustin COCHIN (1876-1916)
30 juin 2008, par FaoudelDémonstration magistrale de Cochin qui dévoile dans le Contrat social le germe de tous les totalitarismes. La démocratie rousseauiste est calquée sur le catholicisme par son caractère religieux et universel, mais lui est symétrique et opposée.
Décrypter la pensée de ROUSSEAU (titre de VLR)
L’idée maîtresse du Contrat social, c’est la souveraineté permanente, directe de la volonté générale. La clef de voûte du système, c’est le vote.
Et ici intervient l’objection vulgaire : que (...) -
Le 10 aout 1792 par Georges de CADOUDAL (1823-1885)
19 juin 2008, par MabBlavetCe récit suscitera chez beaucoup un sentiment de déjà vu (une grève qui dégénère par exemple). Le schéma est toujours le même : par faiblesse ou par crainte de provocation, une autorité qui doute d’elle même laisse le champ libre à une minorité révolutionnaire décidée et préparée. Alors le chaos s’instaure, aucune institution ne protège plus personne, on est livré à des prédateurs qui prétendent parler au nom du peuple mais qui ne représentent qu’eux-mêmes et sèment la terreur. (...)
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Nature de la soumission au roi
23 mai 2008, par MabBlavetQuand la soumission au roi rend plus libre que l’obéissance servile à un pouvoir illégitime ou contesté.
Enseignement de Louis XIV au Dauphin
Et à vous dire la vérité, mon fils, nous ne manquons pas seulement de reconnaissance et de justice, mais de prudence et de bon sens, quand nous manquons de vénération pour Celui dont nous ne sommes que les lieutenants. Notre soumission pour Lui est la règle et l’exemple de celle qui nous est due. Les armées, les conseils, toute l’industrie (...) -
L’origine démocratique du nationalisme
4 mai 2008, par MabBlavetCitation tirée de L’Aube Royale d’Yves Marie ADELINE, Ed. SICRE 1, Square Racan - 75016 PARIS, 1991 p.27-28
En Occident, l’expérience athénienne, contrairement à ce qu’il en apparaît, n’a fait que transférer cette sacralité du pouvoir, en la retirant des mains d’un homme pour l’accorder à l’État.
Dans cette ville qui, à bien des égards, annonce le Christianisme, à tel point qu’une bonne partie de son héritage reste vivant dans notre civilisation européenne, la dignité du citoyen (...) -
"De regimine principum" ou "De Regno" de saint Thomas d’Aquin
2 mai 2008, par MabBlavetTraduction de la partie authentique du De Regno par Claude Roguet avec la collaboration de M. l’abbé Poupon docteur en théologie. Collection : Les maîtres de la politique chrétienne. Éditions de la Gazette Française, Paris, 1926.
Argument
**Dédicace au roi de Chypre et objet de l’ouvrage.
Comme je me demandais quel ouvrage vous offrir qui fût à la fois digne de Votre Majesté Royale et conforme aux devoirs de mon état, il me parut particulièrement convenable de composer pour vous, à (...) -
Nature de la Révolution d’après Monseigneur GAUME (1877)
23 avril 2008, par FaoudelSi, arrachant son masque, vous lui demandez : qui es-tu ? Elle vous dira :
Je ne suis pas ce que l’on croit. Beaucoup parlent de moi et bien peu me connaissent. Je ne suis ni le carbonarisme... ni l’émeute... ni le changement de la monarchie en république, ni la substitution d’une dynastie à une autre, ni le trouble momentané de l’ordre public. Je ne suis ni les hurlements des Jacobins, ni les fureurs de la Montagne, ni le combat des barricades, ni le pillage, ni l’incendie, ni la loi (...)